(note du blog : quelques soucis ne m'ont pas permis de tenir le rythme cette semaine. J'espère reprendre les parutions des reviews bien plus tôt la semaine prochaine)
New Jersey Jets (2.1) @ Oakland Raiders (2.1) : 24- 34
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h05 - O.co Coliseum
New Jersey Jets (2.1) @ Oakland Raiders (2.1) : 24- 34
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h05 - O.co Coliseum
"C'est de ma responsabilité. Il faut que l'on résolve ce problème. Même si je ne sais pas de quoi il s'agit.", disait Big Daddy Rex. Mark Sanchez a pris une raclée derrière une ligne offensive très faiblarde en l'absence de Nick Mangold. Sanchez a lancé 43 fois, a mangé de la pelouse et doit avoir un nez cassé.
Car ce n'est pas le football typique de Rex Ryan que l'on a vu ici. Avec l'offensive line qui ne tient pas la route, LT & Shonn Greene, déjà forts inefficaces, sont incapables de trouver des solutions. Le jeu de course réduit à néant, Mark Sanchez doit prendre ses responsabilités et lancer plus souvent le ballon dans un rôle pour lequel il n'est pas taillé - il demeure avant tout un gestionnaire dans le jeu, tributaire de la domination de sa défense. Or, même celle-ci a craqué face à la vista d'un Darren McFadden impeccable (19 rush - 171 yards - 2 TDs). Sione Pouha (Jets) a réagi en conférence de presse : "C'est humiliant lorsque quelque chose comme cela arrive. On ne peut rien faire de plus que d'apporter les corrections nécessaires et aller de l'avant." De son côté, Richard Seymour (Raiders) livrait le passage suivant : "C'est une équipe de football physique; ce qui tombait plutôt bien au demeurant. Car nous sommes également une équipe physique, que ce soit offensivement ou défensivement parlant. Nous avons toutes nos chances face à une équipe qui viendrait ici et tenterait de nous imposer un défi physique."
Soit dit en passant, elle est loin cette vision du golden boy qui, dans ce même stade, mangeait paisiblement un hot dog sur le bas côté il y a deux ans. |
LauLau avait parié sur les :
Jets
Les Chiefs (0- 3) avaient mis fin l'année dernière à la domination de San Diego sur l'AFC West et eurent l'occasion de l'emporter Dimanche dernier. Les Chiefs n'avaient plus de time-out à jouer; les Chargers n'avaient plus qu'à faire tourner l'horloge. Mais en vain, Philip Rivers échouait dans un 4th & 1. Cassel récupérait le ballon sur sa ligne des 33 yards avec 1.26 à jouer - un lancer de 23 yards en direction de Leonard Pope (TE) pour rentrer dans le camps des Chargers. Sur le play suivant, Cassel fut mis sous pression par la défense de San Diego. Obligé de recourir au plus pressé, il lançait la balle sur Eric Weddle, le safety des Chargers (qui avait signé son contrat de 40M $ cet été) qui montait sur un blitz. Réellement sur un blitz ? Après coup, Weddle a expliqué qu'il s'agissait effectivement d'un safety blitz. Mais, au moment de monter, il avait deviné que Cassel s'apprêtait à jouer un screen play en direction de Dexter McCluster, ce qui l'avait poussé à s'interrompre dans son mouvement.
Réaction de Cassel : "C'était bien une screen pass. Je me suis mis à reculer et j'ai cru que je pouvais atteindre Dexter. C'est le genre de balle que l'on aimerait bien pouvoir rejouer." De son côté, McCluster était persuadé que les Chiefs pouvaient réaliser un gros coup sur un screen, mais Weddle est passé par là : "Je le croyais en train de partir sur un blitz mais, à la dernière seconde, il s'en est aperçu et s'est mis à reculer. C'est ce qui l'a amené à réaliser cette interception."
Un suspense jusqu'au bout de la rencontre donc; la faute à des Chargers incapables de tuer le match. Philip Rivers n'a pas été transcendant (24 sur 38 passes - 266 yards - 1 fumble - 2 interceptions). "Certainement. Je dois jouer mieux que cela et je vais travailler dur pour y arriver. Mais le plus important, c'est que nous soyons à 2- 1", disait le QB de San Diego. Le fumble de Rivers a eu lieu sur le second drive de San Diego mais a été recouvert par Nick Hadwick (C), ce qui fait dire à Coach Norv Turner : "Nous ne sommes pas synchro pour jouer la totalité du match avec le rythme que nous souhaitons. Ça va venir."
Les errances de San Diego auront finalement redonné du baume au coeur à des Chiefs courageux. C'est peut-être bien une première étape nécessaire pour se sortir de l'ornière.
LauLau avait parié sur les :Chargers
Jets
Kansas City Chiefs (0.3) @ San Diego Chargers (2.1) : 17- 20
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h05 - Qualcomm Stadium
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h05 - Qualcomm Stadium
Les Chiefs (0- 3) avaient mis fin l'année dernière à la domination de San Diego sur l'AFC West et eurent l'occasion de l'emporter Dimanche dernier. Les Chiefs n'avaient plus de time-out à jouer; les Chargers n'avaient plus qu'à faire tourner l'horloge. Mais en vain, Philip Rivers échouait dans un 4th & 1. Cassel récupérait le ballon sur sa ligne des 33 yards avec 1.26 à jouer - un lancer de 23 yards en direction de Leonard Pope (TE) pour rentrer dans le camps des Chargers. Sur le play suivant, Cassel fut mis sous pression par la défense de San Diego. Obligé de recourir au plus pressé, il lançait la balle sur Eric Weddle, le safety des Chargers (qui avait signé son contrat de 40M $ cet été) qui montait sur un blitz. Réellement sur un blitz ? Après coup, Weddle a expliqué qu'il s'agissait effectivement d'un safety blitz. Mais, au moment de monter, il avait deviné que Cassel s'apprêtait à jouer un screen play en direction de Dexter McCluster, ce qui l'avait poussé à s'interrompre dans son mouvement.
Réaction de Cassel : "C'était bien une screen pass. Je me suis mis à reculer et j'ai cru que je pouvais atteindre Dexter. C'est le genre de balle que l'on aimerait bien pouvoir rejouer." De son côté, McCluster était persuadé que les Chiefs pouvaient réaliser un gros coup sur un screen, mais Weddle est passé par là : "Je le croyais en train de partir sur un blitz mais, à la dernière seconde, il s'en est aperçu et s'est mis à reculer. C'est ce qui l'a amené à réaliser cette interception."
Un suspense jusqu'au bout de la rencontre donc; la faute à des Chargers incapables de tuer le match. Philip Rivers n'a pas été transcendant (24 sur 38 passes - 266 yards - 1 fumble - 2 interceptions). "Certainement. Je dois jouer mieux que cela et je vais travailler dur pour y arriver. Mais le plus important, c'est que nous soyons à 2- 1", disait le QB de San Diego. Le fumble de Rivers a eu lieu sur le second drive de San Diego mais a été recouvert par Nick Hadwick (C), ce qui fait dire à Coach Norv Turner : "Nous ne sommes pas synchro pour jouer la totalité du match avec le rythme que nous souhaitons. Ça va venir."
Les errances de San Diego auront finalement redonné du baume au coeur à des Chiefs courageux. C'est peut-être bien une première étape nécessaire pour se sortir de l'ornière.
LauLau avait parié sur les :Chargers
Baltimore Ravens (2.1) @ St Louis Rams (0.3) : 37- 7
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h05 - Edward Jones Dome
Dommage que le meilleur moment des Rams dans cette rencontre soit leur entrée sur le terrain... |
Rappelez-vous. Dans ma preview de ce match, j'avais expliqué les erreurs commises par Baltimore contre Tennessee et à ne pas répéter contre St-Louis :
"Tennessee a changé la donne, se focalisant uniquement sur les "underneath routes" et poussant Baltimore à aller chercher des deep plays. La problématique était donc double et n'a pas su être résolue par les Ravens : 1/ tout deep play demande un minimum de temps dans la pocket où le QB cherchera à lire la meilleure option. L'effort de l'offensive line doit être à son apogée. Avec l'absence de son meilleur joueur, Ben Grubbs, l'offensive line des Ravens ne pouvait fournir cet effort. 2/ Il y a la nécessité d'une deep threat qui dictera à la défense adverse le coverage à adopter. Or, Lee Evans est touché à un pied depuis la pré-saison. Ses capacités d'accélération sont nulles; il ne peut se séparer de son défenseur. Baltimore devra donc chercher quelqu'un capable d'endosser le rôle de Lee Evans durant son absence (Torrey Smith ? LaQuan Williams ?)"
"Tennessee a changé la donne, se focalisant uniquement sur les "underneath routes" et poussant Baltimore à aller chercher des deep plays. La problématique était donc double et n'a pas su être résolue par les Ravens : 1/ tout deep play demande un minimum de temps dans la pocket où le QB cherchera à lire la meilleure option. L'effort de l'offensive line doit être à son apogée. Avec l'absence de son meilleur joueur, Ben Grubbs, l'offensive line des Ravens ne pouvait fournir cet effort. 2/ Il y a la nécessité d'une deep threat qui dictera à la défense adverse le coverage à adopter. Or, Lee Evans est touché à un pied depuis la pré-saison. Ses capacités d'accélération sont nulles; il ne peut se séparer de son défenseur. Baltimore devra donc chercher quelqu'un capable d'endosser le rôle de Lee Evans durant son absence (Torrey Smith ? LaQuan Williams ?)"
Sur cette rencontre, nous étions dans des problématiques similaires sauf que Baltimore a su trouver les réponses nécessaires. André Gurode, l'ex-center des Cowboys, a remplacé un Mark LeVoir transparent contre les Titans au poste de LG (1). Et Torrey Smith, auteur de 5 catches, 152 yards, 3 TDs, a incarné la deep threat (2) que recherchaient les Ravens sous le coaching de John Harbraugh. Une sacré revanche pour le rookie qui avait été auteur d'une mauvaise pré-saison. Ces deux points résolus, Baltimore était en mesure de dicter ses choix à l'adversaire : St-Louis attendait sur les underneath routes; Baltimore jouait à la verticale sur Torrey Smith. St-Louis reculait et couvrait le backfield; Baltimore envoyait aux turbins Little Ray & l'ex-Dolphins Ricky Williams. Un casse-tête impossible à résoudre pour St-Louis et une frustration sans pareille comme le montrait le cheap shot de Jason Smith sur Ray Ray. Mais on ne touche pas au "patronnnn" (à dire avec l'accent mexicain). Arthur Jones (DE), le frangin du champion de l'UFC Jon Jones (spécial dédicace HoroHoro), se chargea de repousser le massif joueur de l'offensive line des Rams, qui retomba lourdement sur ses fesses.
Frustration aussi du côté de Steve Spagnuolo à l'issue de la fin de la rencontre : "Ils ont joué différement de ce que l'on attendait." Mais ce n'était pas fini; l'"Associated Press" dévoile que le coach des Rams est rentré chez lui et a donné instruction à sa femme Maria de ne plus adresser la parole aux Harbraugh. Réaction de Spagnuolo : "Je vais vous dire un truc : John Harbraugh est un compétiteur. Je sais ça de lui. Je n'ai pas de problème avec cela. Et, ouai, j'en avais un, par contre, à la sortie de la rencontre mais je me suis calmé depuis."
Suggs like a truck; it hurts ! |
Belle image de la célébration des Ravens - Ray Ray au 1er plan. |
LauLau avait parié sur les :
Ravens
Green Bay Packers (3.0) @ Chicago Bears (1.2) : 27- 17
"Je me sens plus à l'aise cette année. Lorsque l'on s'avance dans la saison régulière ainsi et que l'on se sent en accord avec sa façon de jouer, c'est quelque chose de très important pour la confiance.", expliquait Aaron Rodgers (QB - Packers). Coach Mike McCarthy ne pouvait qu'être qu'en accord avec son QB star : " Comme joueur, il a rencontré beaucoup de succès. Il a gagné un championnat du monde l'année dernière. Je crois que cela donnerait de la confiance à n'importe qui. (...) C'est un excellent joueur qui sera reconnu comme tel lorsque sa carrière sera finie." En vieux routier, Rodgers a su gérer ses troupes dans les moments décisifs de la partie : - un TD de 6 yards pour Finley sur le premier drive - un autre de 7 yards toujours pour Finley au début du second quart pour mener 14- 0 - un TD de 10 yards encore et toujours pour Finley au début de 4ème quart pour mener 27- 10. Mais Rodgers voit plus loin : "Je pense que l'on a le potentiel pour faire encore mieux; je ne sais pas en combien de victoires ça se traduit. Mais je veux dire que nous pouvons jouer un meilleur football." Du côté des Bears, on est retombé dans les travers. Jay Cutler a été égal à lui-même : capable du meilleur mais encore plus souvent du pire et le jeu au sol a été inexistant (13 yards pour 12 tentatives). Clairement, les Bears ont un énorme travail à faire. "Ça signifie qu'ils vont devoir bosser dessus cette semaine car ça n'a clairement pas marché. Plus sérieusement, on a joué contre des bons coureurs cette saison. Je sais qu'il y a tout ce hype sur Forte mais, nous, on savait que si on gérait notre affaire, il n'aurait aucune incidence sur la partie." BJ Raji allume mais les faits lui donnent raison : Matt Forte : 2 yards en 9 courses.
LauLau avait parié sur les :
LauLau avait parié sur les :
Packers
Arizona Cardinals (1.2) @ Seattle Seahawks (1.2) : 10- 13
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h15 - CenturyLink Field
LauLau avait parié sur les :
Cardinals
Atlanta Falcons (1.2) @ Tampa Bay Buccaneers (2.1) : 13- 16
Dimanche 25 Septembre 2011 - 22h15 - Raymond James Stadium
Semaine après semaine, Josh Freeman démontre qu'il est un QB sur lequel il faut compter. De prime abord, contre Atlanta, ses stats ont l'air fort quelconques (22 sur 32 passes, 180 yards, 2 INT, 10 rush, 35 yards, 1 TD) et il n'a pas eu un retour improbable à surmonter au 4ème quart (le QB de 3ème année a mené 8 drives victorieux lors du 4ème quart ou en prolongations depuis le début de sa carrière). Mais il a su gérer un drive long de 4 minutes, empêchant Matt Ryan de retrouver le ballon et cloturant ainsi la rencontre.
Les Bucs ont donc stoppé une série de cinq défaites consécutives contre les Falcons - quatre d'entres elles étant de moins de 7 points. "C'est énorme et il était temps que cela soit pour nous. Depuis que je suis là, ce sont toujours des matchs de division serrés. Ils sont des bons adversaires. J'ai beaucoup de respect pour eux. On aura à les voir de nouveau. J'attendrai mais, aujourd'hui, c'était pour nous. On l'a fait.", s'exclamait Josh Freeman. Mais, attention, méfiance ! L'enthousiasme des Bucs me fait penser à celui des Ravens après la victoire contre les Steelers. On a vu le résultat en week 2. L'intervention de Coach Raheem Morris est donc à savourer : "J'ai expliqué à l'équipe que l'on n'est pas rentré dans cette saison avec pour seul but de battre les Falcons. Notre but, c'est de remporter la division. On doit battre ces gars comme on doit battre n'importe qui d'autre dans la division." Tampa Bay a forcé 3 turnovers & ont sack Ryan 4 fois. Coach Mike Smith (Falcons) s'expliquait : "Je crois que l'on s'était tiré une balle dans le pied pour esperer revenir dans cette confrontation. On n'a pas bien joué. On n'a pas fait grand chose de correct dans les trois premiers quarts. (...) Chaque coach dans la Ligue vous expliquera qu'il faut commencer rapidement. C'est l'une des choses que vous devez faire et on ne l'a pas fait. Il faut que l'on commence nos matchs plus rapidement" De façon étrange, je n'ai pas trouvé de paroles de Mike Smith sur le sujet n°1 qui pose problème avec ces Falcons : l'absolu faiblesse de l'offensive line.
Les Bucs ont donc stoppé une série de cinq défaites consécutives contre les Falcons - quatre d'entres elles étant de moins de 7 points. "C'est énorme et il était temps que cela soit pour nous. Depuis que je suis là, ce sont toujours des matchs de division serrés. Ils sont des bons adversaires. J'ai beaucoup de respect pour eux. On aura à les voir de nouveau. J'attendrai mais, aujourd'hui, c'était pour nous. On l'a fait.", s'exclamait Josh Freeman. Mais, attention, méfiance ! L'enthousiasme des Bucs me fait penser à celui des Ravens après la victoire contre les Steelers. On a vu le résultat en week 2. L'intervention de Coach Raheem Morris est donc à savourer : "J'ai expliqué à l'équipe que l'on n'est pas rentré dans cette saison avec pour seul but de battre les Falcons. Notre but, c'est de remporter la division. On doit battre ces gars comme on doit battre n'importe qui d'autre dans la division." Tampa Bay a forcé 3 turnovers & ont sack Ryan 4 fois. Coach Mike Smith (Falcons) s'expliquait : "Je crois que l'on s'était tiré une balle dans le pied pour esperer revenir dans cette confrontation. On n'a pas bien joué. On n'a pas fait grand chose de correct dans les trois premiers quarts. (...) Chaque coach dans la Ligue vous expliquera qu'il faut commencer rapidement. C'est l'une des choses que vous devez faire et on ne l'a pas fait. Il faut que l'on commence nos matchs plus rapidement" De façon étrange, je n'ai pas trouvé de paroles de Mike Smith sur le sujet n°1 qui pose problème avec ces Falcons : l'absolu faiblesse de l'offensive line.
LauLau avait parié sur les :
Falcons
Pittsburgh Steelers (2.1) @ Indianapolis Colts (0.3) : 23- 20
Lundi 26 Septembre 2011 - 02h20 - Lucas Oil Stadium
Avec une victoire à la limite, les Steelers étaient loin d'apparaitre comme une équipe capable de revenir au Lucas Oil Stadium pour le SuperBowl en Février. Big Ben est responsable de 3 turnovers pendant 11 minutes durant la première moitié du match, Pittsburgh a couru uniquement sur 67 yards - ça reste toujours mieux que Chicago - et cette défense tant vantée pour ses qualités a souffert face à un QB de 3ème ligne. Le fait que les deux équipes soient si proches sur ce match est presque choquant et ça, les Steelers le savent : "On s'en fout de savoir à quoi ça ressemble. On voulait partir du stade avec la victoire, particulièrement une victoire à l'extérieur et contre une équipe de l'AFC." Bien que Big Ben ait lancé sur 364 yards pour 1 TD et Mike Wallace ait rattrapé 5 passes pour 144 yards, les Steelers ont fait suffisamment d'erreurs pour qu'une avance de 10 points lors de la première moitié du match ne soit pas suffisante. Avec en point d'orgue, un second quart mémorable : 1/ Robert Mathis (DE) pour un sack de Big Ben - fumble recouvert par les Colts au milieu du terrain. Se finit par un coup de pied de 21 yards de Adam Vinatieri. 3 points. 2/ Dwight Freeney (DE) pour un sack de Big Ben - fumble recouvert par Jamaal Anderson pour un TD défensif (47 yards - 1.46 de la fin du second quart). 3/ interception de Big Ben dans les bras de Joe Lefeged (who the fuck is this guy ?) + personal foul des Steelers. Se finit par un coup de pied de 25 yards de Adam Vinatieri pour donner une avance aux Colts de 13- 10 à 15 secondes de la fin.
Je l'ai déjà dit, je le répète encore : cette année, les Steelers accusent le poids de leur âge et semblent rouillés. Le drive victorieux, égalisateur à 20- 20, de 80 yards de Curtis Painter (Kerry Collins victime d'un traumatisme poussant les Colts à recruter un nouveau QB Dan Orlovsky, ex-Lions) en est le parfait exemple dans le 4ème quart. "Mec, on s'est battu, on a discuté à la pause. On a ajuste certaines choses, bien joué et on a finit avec un W.", conclut Maurkice Pouncey (C)
C'était la Saint Ben... |
Je l'ai déjà dit, je le répète encore : cette année, les Steelers accusent le poids de leur âge et semblent rouillés. Le drive victorieux, égalisateur à 20- 20, de 80 yards de Curtis Painter (Kerry Collins victime d'un traumatisme poussant les Colts à recruter un nouveau QB Dan Orlovsky, ex-Lions) en est le parfait exemple dans le 4ème quart. "Mec, on s'est battu, on a discuté à la pause. On a ajuste certaines choses, bien joué et on a finit avec un W.", conclut Maurkice Pouncey (C)
LauLau avait parié sur les :Steelers.
Washington Redskins (2.1) @ Dallas Cowboys (2.1) : 16- 18
Mardi 27 Septembre 2011 - 02h30 - Dallas Stadium
Tony Romo n'avait visiblement pas le choix; il devait jouer - côté cassée ou pas. En conférence de presse, à l'issue de la rencontre, il confiait : "Ma femme m'a dit : - tu plaisantes ? Tu ne vas pas jouer ? Je ne veux pas avoir d'un mari dans un fauteuil roulant." Romo était souriant. Pour autant, sa performance était fort quelconque. Il a déjà eu besoin de 2 injections d'analgésiques pour contenir la douleur. Son center Phil Costa s'est amusé à faire n'importe quoi, balançant le ballon trop vite ou pas droit. Et le QB de Dallas n'a pas réussi à atteindre la end zone, et cela même avec une tentative à 2 yards. Au moins, cela aura eu le mérite de faire gonfler les stats du kicker rookie Dan Bailey, auteur de 6 coups de pied sur 6 - déjà auteur du coup de pied égalisateur contre les 49ers.
Pour en revenir à Romo, le QB s'est fait - comme on pouvait s'y attendre dans cette confrontation entre rivaux - désintégrer par quelques hits vicieux. Qui plus est, le QB était réellement mécontent de la prestation fournie par Phil Costa & Kevin Ogletree (WR). Et c'est là que l'on mesure le travail effectué par Rob Ryan qui a su prendre le relais avec sa défense et réinstaurer de la confiance dans des rangs qui en avaient clairement besoin. Du côté des Redskins et notamment de DeAngelo Hall qui avait déclaré vouloir mettre son casque sur tout ce qui est blessé, le CB était furieux d'une pénalité sifflée contre lui pour facemask : "J'ai dit aux arbitres que c'était leur pire décision de tout le match. Ils doivent être dégradés. Il n'y avait pas de facemask." Coach Mike Shanahan conclut cette rencontre décevante et avare en TD : "Il faut que l'on trouve quelle équipe nous sommes réellement. Quand vous perdez comme cela, cela vous blesse, mais on n'a pas le temps de se sentir désolé pour nous-mêmes."
"De bons snaps, de bons holds, une bonne protection - mon travail était grandement facilité. Et quand tu passes une série de coups de pied comme cela, c'est tout bonus au niveau de la confiance." |
Pour en revenir à Romo, le QB s'est fait - comme on pouvait s'y attendre dans cette confrontation entre rivaux - désintégrer par quelques hits vicieux. Qui plus est, le QB était réellement mécontent de la prestation fournie par Phil Costa & Kevin Ogletree (WR). Et c'est là que l'on mesure le travail effectué par Rob Ryan qui a su prendre le relais avec sa défense et réinstaurer de la confiance dans des rangs qui en avaient clairement besoin. Du côté des Redskins et notamment de DeAngelo Hall qui avait déclaré vouloir mettre son casque sur tout ce qui est blessé, le CB était furieux d'une pénalité sifflée contre lui pour facemask : "J'ai dit aux arbitres que c'était leur pire décision de tout le match. Ils doivent être dégradés. Il n'y avait pas de facemask." Coach Mike Shanahan conclut cette rencontre décevante et avare en TD : "Il faut que l'on trouve quelle équipe nous sommes réellement. Quand vous perdez comme cela, cela vous blesse, mais on n'a pas le temps de se sentir désolé pour nous-mêmes."
LauLau avait parié sur les :Redskins
Bilan pronostiques : un 10 sur 16 faiblard. Pas spécialement de regrets à avoir. Une journée intéressante avec des matchs dont la qualité oscillait entre le formidable et le catastrophique. Mais un suspense à tout les étages - c'est ce qui compte.
Ce qui nous fait un total de 33 bons pronostiques sur 48 soit 68% de bons pronostiques. Je savais que la barre des 70 ne serait pas évidente mais la saison est encore longue.
Bilan pronostiques : un 10 sur 16 faiblard. Pas spécialement de regrets à avoir. Une journée intéressante avec des matchs dont la qualité oscillait entre le formidable et le catastrophique. Mais un suspense à tout les étages - c'est ce qui compte.
Ce qui nous fait un total de 33 bons pronostiques sur 48 soit 68% de bons pronostiques. Je savais que la barre des 70 ne serait pas évidente mais la saison est encore longue.
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